Evaluation D Un Protocole D Analg Sie Propos Pour L Interruption M Dicale De Grossesse


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Evaluation d'un protocole d'analgésie proposé pour l'interruption médicale de grossesse


Evaluation d'un protocole d'analgésie proposé pour l'interruption médicale de grossesse

Author: Gaëlle Gaborit

language: fr

Publisher:

Release Date: 2006


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Évaluation du protocole d'interruption médicale de grossesse au Centre de Gynécologie Obstétrique d'Amiens


Évaluation du protocole d'interruption médicale de grossesse au Centre de Gynécologie Obstétrique d'Amiens

Author: Charlotte Janvier-Sénéchal

language: fr

Publisher:

Release Date: 2007


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Objectifs : analyser la population recourant à l'IMG, étudier les indications des IMG, évaluer notre protocole, recenser les complications découlant de ces IMG. Le but de cette étude est de faire ressortir les faiblesses de notre protocole afin de proposer aux patientes une prise en charge améliorée. Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude descriptive rétrospective sur 219 IMG réalisées dans le service de Gynécologie-Obstétrique du CHU d'Amiens du 1er janvier 2003 au 31 décembre 2006. Ont été exclues les morts foetales in-utéro spontanées, les réductions embryonnaires et les foeticides sélectifs sur grossesse multiple. Le protocole incluait la prise de 600 mg de RU 486 (1200 mg pour les grossesses supérieures à 28 SA) le 1er jour suivie à 36h d'une pose d'une péridurale et de la réalisation éventuelle d'une foeticide. Le déclenchement était alors débuté par une prise orale de 2 comprimés de Misopostol toutes les 4h jusqu'à expulsion (1 comprimé en cas d'utérus cicatriciel). Résultats : Le délai d'expulsion moyen est de 10,5 heures avec une dose de Misoprostol moyenne utilisée de 800γg. Le taux d'expulsion à 24h est de 88,1%. Nous observons 10 échecs d'expulsion. Nous n'avons recensé aucune complication majeure : césarienne per partum, rupture utérine, hémorragie de la délivrance sévère. Les complications mineures ont été : vomissements (15%), hyperthermie (15%). Conclusion : Le protocole actuel assure un taux d'expulsion dans les 24h satisfaisant mais une durée moyenne d'expulsion et un nombre d'échecs d'expulsion significativement supérieurs par rapport aux autres protocoles étudiés. Par contre, notre protocole semble sûr et confortable pour les patientes. Nous proposons 2 modifications principales du protocole : une dose unique de 600 mg de RU 486 quel que soit le terme et la première prise de Misoprostol par voie vaginale.

Evaluation des pratiques anesthésiques pour interruption médicale de grossesse tardive


Evaluation des pratiques anesthésiques pour interruption médicale de grossesse tardive

Author: Grégory Dubar

language: fr

Publisher:

Release Date: 2009


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L’amélioration des techniques de dépistage prénatal a conduit à une augmentation du nombre d’interruptions médicales de grossesse (IMG) en France (≈6000/an). L’objectif de cette étude était de connaître les pratiques anesthésiques habituelles pour IMG après 14 semaines d’aménorrhée. L’étude a consisté en une enquête de pratiques auprès des équipes anesthésiques des maternités françaises attachées à un centre pluridisciplinaire de diagnostic prénatal (CPDPN). Ces pratiques ont été ensuite comparées aux pratiques des maternités de Paris et de ses départements limitrophes situées dans des établissements sans CPDPN. Dans les maternités attachées à un CPDPN, les anesthésistes participent au staff de diagnostic prénatal dans 36 % des centres et sont consultés en cas d’indication maternelle dans 69 % des centres. Une analgésie périmédullaire est pratiquée chez plus de 90 % des patientes. La péridurale est posée après le foeticide dans 22 % des centres et après la mise en route du travail en l’absence de foeticide dans 38 % des centres. Une sédation ou une anesthésie générale pour l’expulsion est systématique ou à la demande de la patiente dans 2 % et 60 % des centres respectivement. Il existe peu de différences entre les maternités attachées à un CPDPN et celles qui ne le sont pas.En conclusion, la participation des anesthésistes à la décision d’IMG mérite de se développer. L’analgésie périmédullaire est la pratique habituelle et utilise des protocoles similaires à ceux utilisés pour l’accouchement normal. La péridurale est parfois posée trop tardivement par rapport au déclenchement du travail ou au geste foeticide. La sédation ou anesthésie générale au moment de l’expulsion semble répandue et pourrait favoriser un deuil périnatal pathologique.